Jusqu’à la Pierre Brisée et l’ajonc, par les chemins creux sur lesquels se penchent les chênes et les châtaigniers, vers l’embouchure barrée par l’île où dorment les deux Saintes, dans le calme du soir et l’absence de brise, accompagnée du chant des fauvettes et des merles, aller saluer celleux qui m’attendent.